Ils visent à rétablir la durée minimum du congé de maternité de huit semaines pour les travailleuses indépendantes non agricoles, s'agissant du premier amendement, et pour les agricultrices non salariées s'agissant du second.
J'en profite pour rendre hommage à notre collègue Marie-Pierre Rixain, à laquelle nous devons ces avancées importantes votées en première lecture.