Il n'y a aucune violence administrative dans cet amendement gouvernemental, seulement le souci de répondre à un besoin. Cette fusion entre le GIP « Enfance en danger » et l'Agence française de l'adoption est programmée depuis les rapports rendus en 2013 et la nouvelle loi sur l'adoption de 2014. Les acteurs se sont rapprochés et travaillent dans le même lieu ; les présidents des deux GIP attendent cette fusion tout comme les présidents des conseils départementaux qui en ont besoin pour travailler.