Cela concerne l'enfance en danger : nous sommes en train de débattre du GIPED, et c'est lui qui gère le numéro 119, celui du service national d'accueil téléphonique de l'enfance en danger, ainsi que l'Observatoire national de la protection de l'enfance, auquel je vais demander de recueillir auprès des conseils départementaux des données sur les violences éducatives ordinaires. Car nous ne disposons pas de chiffres exacts, nous ne savons pas combien d'enfants sont battus en France. C'est cet observatoire qui permettra d'avoir des données concrètes.