C'est une autorisation d'avancer. Si vous n'intégrez pas cette habilitation dans cette proposition de loi, nous n'aurons aucun vecteur législatif pour y parvenir. Je répète que cela fait des années que tous les acteurs départementaux, les associations, les présidents des deux GIP et les personnels attendent cette fusion. Vous avez toutes les clés en main. Il n'y a pas de violence, il y a nécessité de faire mieux pour disposer d'un observatoire capable de nous faire remonter des données concrètes nous permettant de piloter la politique de protection de l'enfance, aujourd'hui pilotée à l'aveugle, faute de données tangibles.