Une part des 350 ETP prévus pour 2019 – et dont l'opposition doute qu'ils soient budgétés – ira-t-elle à FRONTEX ? Cela réduirait d'autant les moyens opérationnels prévus pour les contrôles douaniers. La rencontre avec les autorités douanières belges a-t-elle pour objet d'uniformiser les procédures ? En effet, la concurrence douanière pourrait s'avérer néfaste pour nos ports.
Par ailleurs, dans le cadre des assises de l'économie de la mer qui se sont tenues à Brest, la députée européenne Karima Delli nous a livré l'information suivante : il semblerait que l'Europe dispose de fonds, à hauteur de 350 millions d'euros, dédiés aux mécanismes d'interconnexion, donc pour les infrastructures de l'hinterland, et que ces crédits seraient inemployés. La France pourrait-elle en bénéficier ?