Je me permets de faire remarquer que, si toutes ces pistes sont intéressantes, nous ne devons pas perdre de vue un principe que vous connaissez aussi bien que moi – et dont vous êtes un fervent partisan – , à savoir le principe de la non-augmentation de la dette publique. Je sais que vous y êtes particulièrement attaché. Je le dis pour une raison simple : chacun sait, même si beaucoup feignent de ne pas s'en inquiéter – mais je veux bien reconnaître que vous n'en faites pas partie, monsieur le président Lagarde – , l'augmentation considérable qu'a connu la dette publique au cours des dix dernières années.