L'aide à la garde sera la même des trois ans de l'enfant jusqu'au début de sa scolarité, car les besoins de garde demeurent les mêmes tant que l'enfant n'est pas entré à l'école. Grâce notamment à votre collègue Marie-Pierre Rixain, les droits des futures mères travailleuses indépendantes et agricultrices seront alignés sur ceux des salariés, tout en restant adaptés à leurs spécificités professionnelles.