Je suis très heureux que nous puissions avoir ce débat qui n'avait pas eu lieu durant l'examen du projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes. Comme Philippe Gosselin l'a rappelé, nous avions alors déposé un amendement presque identique, pour ne pas dire identique, qui fut balayé d'un revers de la main en disant que le placement sous surveillance électronique mobile n'était pas le sujet.
En réalité, il peut être une réponse plus intéressante que le « téléphone grave danger », dont l'efficacité repose sur la victime…