C'est très clair. Je ne peux pas laisser dire cela.
Par ailleurs, je précise que le rapprochement des détenus est à nos yeux une question essentielle. Nous savons parfaitement quelles règles internationales et constitutionnelles s'imposent à nous et agissons donc en vue de les respecter.
Au demeurant, j'aurais aimé, monsieur Habib, que vous indiquiez que le Gouvernement, que je représente ici, a été le premier à rapprocher presque 60 % des détenus basques de leurs familles.