Nous le faisons avec énormément d'attention et de soin, en prenant en considération la situation du condamné ainsi que celle des établissements susceptibles de l'accueillir. Nous avons agi de même avec les détenus qui, dernièrement encore – vous le savez, car vous m'en avez vous-même parlé, monsieur Acquaviva – , ont été transférés à la prison de Borgo.
Je le répète, nous traitons ces cas avec beaucoup d'attention. Les services de la chancellerie sont mobilisés sur ce sujet.
Bien entendu, nous devons prendre en considération certaines données. Ainsi, il n'existe aucun établissement de détention susceptible d'accueillir des femmes dans le Sud-Ouest. Nous remédierons à cette difficulté dans le cadre du plan pénitentiaire que nous avons élaboré.