Demain, il ne sera plus possible que ces opérateurs soient complices – par défaut, certes, mais peu importe – de ces appels.
Je ne sais pas combien de textes nous avons étudiés dans le cadre des niches parlementaires depuis le début de la législature. Souvent, l'opposition nous reproche de ne pas lui laisser la parole, de ne pas l'écouter, de ne pas étudier ses textes.