Pas du tout, monsieur le président. Lors de l'examen du premier texte, en juin dernier, Mme Gény-Stephann avait déjà pris l'engagement d'analyser et de peser tous les éléments, mais il n'a pas été tenu. Il s'agit maintenant d'être efficace, madame la secrétaire d'État. Le délai de trois mois, j'en suis conscient, était un peu court ; c'est pourquoi l'amendement le ramène à six mois, comme vient de l'expliquer Christophe Naegelen. Nous avons perdu assez de temps ; il faut entrer au plus vite dans le vif du sujet et réaliser ce travail. Passer de douze mois à trois ou à six mois ne relève pas de la surenchère mais d'un simple souci d'efficacité. Je ne pense pas non plus qu'un tel audit représente un travail trop important.