Merci beaucoup, madame la secrétaire générale. Je prends acte de l'ensemble de ces améliorations en cours. Nous verrons ce qu'il en sera mais nous souhaitons effectivement une nouvelle génération d'études d'impact. Si nous commençons peut-être à construire et à penser les études d'impact de façon différente, c'est déjà une très bonne chose ; il faut sortir des études d'impact habituelles de la Commission européenne qui, honnêtement, n'étudient aucun impact – au niveau national en tout cas.
Et, la création, à terme, d'un véritable observatoire pérenne sur les impacts des échanges commerciaux pour la France serait une avancée démocratique considérable. Un observatoire outillé pour mesurer et suivre au fil du temps ces effets, notamment avec la montée en puissance de la filière bovine canadienne, me semblerait un progrès tout à fait substantiel.