Je rappelle simplement que, sur toutes les questions relatives à la viande bovine et porcine, les chiffres d'aujourd'hui ne seront pas ceux de demain ni d'après-demain. Comme nous l'ont expliqué nos partenaires canadiens, leurs filières ne peuvent pas exporter car elles ne se sont pas encore adaptées à nos normes. Ce n'est qu'une fois transformées – le processus est pour partie en cours – qu'elles pourront exporter. Nous n'aurons donc les chiffres définitifs plus tard.