Je ne doute pas, monsieur Alain Perea, que les fédérations des chasseurs aient entendu parler des 5 euros, mais à l'évidence, elles n'ont pas compris à quelles fins ces sommes seront mobilisées. Mme la ministre a évoqué la valorisation d'actions déjà existantes : c'est rassurant, mais cela pose la question de la pertinence d'un fonds national alors qu'il suffirait de valider les mesures prises par chaque fédération.
Même s'il est impossible d'insérer le montant de 10 euros dans le présent texte, au moins aurait-on pu y inscrire le principe, s'il a donné lieu à un accord, que l'État apportera lui aussi une contribution ; cela n'engage personne.