Toutefois, les échanges sur le dernier sous-amendement me confortent dans l'idée qu'il est dangereux de se lancer dans l'établissement d'une liste, par essence limitative, des intérêts de la France, dont certains – j'ai évoqué la pêche – ne relèvent pas du champ du projet de loi.
Enfin, j'ai rappelé cet après-midi que la lutte contre le terrorisme et la coopération en matière de renseignement font partie, à l'évidence, des intérêts de la France. Comme vous l'avez rappelé, madame Le Grip, j'ai moi-même abordé ce sujet lors de notre débat en commission.
Toutefois, afin d'éviter toute omission, le Gouvernement considère que la meilleure solution consiste à s'en tenir à la simple mention, englobante, des « intérêts de la France ».