Un mot sur la déshumanisation évoquée par certains collègues à propos de décisions que pourraient prendre les directeurs des CAF : on sait bien que la fixation des pensions alimentaires dépend d'abord du juge, que ce n'est qu'en cas de révision qu'ils seront susceptibles d'intervenir – et je rappelle qu'en cas de contestation, les parties pourront toujours former un recours devant le magistrat.