Les avocats du barreau de Pau, qui ont occupé aujourd'hui la caisse d'allocations familiales des Pyrénées-Atlantiques – puisque nous n'en avons plus qu'une depuis quelques mois – , viennent de m'envoyer un texto, vous ayant écouté, monsieur Furst, et m'invitent à retenir vos propos : il nous faut en effet nous méfier du temps qui passe, des ministres qui ne restent pas, des « majorités qui trépassent », pour reprendre votre expression, mais aussi des hommes politiques qui changent d'avis.