… me dit : « C'est bête, j'ai un CAP de menuiserie et je pourrais régler ça en deux temps, trois mouvements. » Le directeur de l'établissement était là et en convenait, mais il n'avait plus de budget pour acheter les planches nécessaires à la réfection du meuble et n'avait pas d'argent non plus pour rémunérer le détenu au titre du service général qui aurait été rendu à la détention. Dès lors, pourquoi n'y consacrerions-nous pas tout cet argent ? Nous pourrions ainsi exploiter intelligemment les compétences des détenus dont on a souvent une vision un peu noire, considérant qu'ils sont dépourvus de formation professionnelle. Arrêtons donc de favoriser la construction de places de prisons.