En effet, seule l'Estonie a fait ce choix car elle est très en avance sur les questions numériques, et c'est aussi pour cela qu'elle est vulnérable par maints aspects aux attaques cyber. En France, nous avons plutôt choisi de développer le système des procurations. C'est un modèle qui fonctionne bien. Tous les pays européens qui avaient choisi l'une des modalités de vote mentionnées à l'article 4 ont tendance à en revenir, car cela n'augmente pas la participation et pose de nombreux problèmes techniques et de sécurité.