Je suis choquée d'entendre cela car le français est une langue de travail officielle des institutions européennes. Nous ne pouvons pas l'accepter. Je veux bien que nous travaillions ensemble pour inclure cette dimension de la francophonie dans la question que je poserai la semaine prochaine. Par ailleurs, nous ne devons pas forcément effectuer un partage rigide entre affaires européennes et affaires étrangères. Ce sont des sujets qui concernent tout le monde, et sur lesquels l'ensemble des députés pourraient se saisir.