Vous avez trouvé le moyen de nous présenter un projet de loi qui ne touche en rien aux milliards d'euros que vous avez donnés aux plus riches par la suppression de l'ISF et l'institution de la flat tax. Zéro, vous ne remettez rien en cause ; vous protégez vos amis, les plus riches, et vous distribuez des miettes à ceux qui sont dans la galère, ceux qui trinquent, ceux qui rament, et qui osent enfin le dire à visage découvert.