Vous entendez cette misère, cette souffrance, s'exprimer sur toutes les chaînes de télévision, mais j'ai l'impression que vous ne la comprenez pas, puisqu'il n'y a, dans ce projet de loi, aucune mesure qui permette de répondre réellement à cette défiance, à ce cri d'alarme.
Je terminerai en vous disant qu'évidemment, nous ne voterons pas ce texte. D'abord, vous n'avez pas besoin de nous, puisque vous avez la majorité dans cet hémicycle – même si vous ne l'avez pas dans le pays. Vous allez donc adopter ce projet de loi, mais nous ne joindrons pas nos voix à cette mascarade.