J'avais annoncé publiquement, sans ambiguïté, la position du groupe Les Républicains en disant que, dès lors que les engagements du Président seraient tenus, nous serions prêts à voter le texte qu'on nous présenterait.
Nous reconnaissons qu'il y a eu des avancées, mais je demande pourquoi, mes chers collègues de la majorité, dans un tel moment, après une telle crise sociale, après avoir conduit le pays à un état de pré-insurrection – et ce ne fut pas le résultat de la politique menée durant les trente ou quarante dernières années, mais de dix-huit mois de présidence de M. Macron, de l'irresponsabilité, de l'arrogance, du mépris dont ont fait preuve le chef de l'État, le Gouvernement et la majorité –