… ce sont autant de nécessités pour mener une vie digne et en bonne santé. Je termine, madame la présidente.
Nous ne pouvons refuser cela à personne : aucun impératif politique, idéologique ou institutionnel ne saurait justifier que l'État n'y pourvoie pas. Nous soutenons donc cette proposition de loi et vous invitons à y intégrer les quelques amendements que nous avons déposés afin d'accomplir une véritable avancée humaniste sur ce sujet crucial.