Pouvez-vous nous éclairer, monsieur le Premier ministre, sur les propositions de compromis que le Gouvernement français est prêt à accepter et, le cas échéant, sur la stratégie alternative qu'il pourrait appuyer ? La réponse à cette question, à laquelle j'associe mon collègue Frédéric Reiss, intéresse évidemment tous les salariés du groupe Alstom.
Ma deuxième question concerne les ex « Alstom Power », division passée sous contrôle de General Electric en 2014. Le bel Américain, qui devait assurer des jours heureux au géant français, est en fait très mal en point.