Je pose à nouveau ma question : quid des aides concrètes apportées à ceux qui ne maîtrisent pas l'écrit, à tous ceux qui peuvent se tromper ou se rétracter, la rétractation ayant des vertus, comme je l'ai démontré, non sans éclat : après sept ans au Parlement, j'ai retiré pour la première fois deux amendements consécutivement. On a le droit de changer d'avis, madame la rapporteure et tant mieux si c'est l'intelligence qui prime !
Aucune disposition n'est donc prévue pour accompagner et aider ceux qui peuvent être lésés dans ce type de procédure et qui éprouvent des difficultés faute de maîtriser l'écrit – je ne parle donc même pas de l'accès au numérique !