Je pense qu'il serait plus sage que nous nous revoyions demain matin à neuf heures trente.
Pour une fois que ce fichu agenda nous offre une prévisibilité, pour une fois que des séances sont ouvertes et que nous avons même la possibilité de poursuivre nos débats lundi, ce n'est pas le moment d'aller se coucher à pas d'heure juste pour rester dans la continuité.
Je me permets de le dire, cela me paraît plus simple que de poursuivre avec des yeux tout fatigués et de discuter de l'organisation judiciaire à deux heures et demie du matin.
Nous avions de toute façon tous prévu d'être présents demain matin pour la suite de l'examen du texte – c'était mon cas et, je pense, celui de beaucoup d'entre nous. Je propose donc que nous procédions ainsi.