Avant d'entrer dans le vif du sujet, permettez-moi de vous faire remarquer qu'il est curieux qu'un grand débat national soit organisé partout en France et pas ici, à l'Assemblée – celle des représentants des citoyens. Ce décalage entre notre ordre du jour et l'état d'urgence économique et social du pays m'interpelle au même titre que notre collègue corse Colombani.
J'aurais, pour ma part, préféré m'exprimer aujourd'hui à cette tribune pour défendre, par exemple, un taux de TVA à 0 % sur les produits de première nécessité ou la réindexation des retraites sur le coût de la vie.