Les chasseurs eux-mêmes nous le disent souvent : ils sont au service de la biodiversité.
S'agissant de la gouvernance, sujet qui nous a également occupés en commission et dont je ne doute pas qu'il animera également nos débats en séance, ce que je recherche, c'est l'équilibre. Le conseil d'administration doit pouvoir jouer pleinement son rôle : cela implique qu'il ne soit pas pléthorique.
J'entends les remarques sur les outre-mer, formulées sur tous les bancs de cet hémicycle. Il est en effet essentiel de reconnaître la place particulière des outre-mer dans le conseil d'administration : la biodiversité française est à 80 % ultramarine. Je serai donc ouverte à des propositions en ce sens.
Quant au financement, ce sera un combat, que nous mènerons en commun ; mais il ne figure pas dans ce texte.