Celles-ci sont en effet obligées de financer un certain nombre d'opérations de restauration des zones humides au moyen de leur budget général. Un opérateur national sans moyens de financement va donc débarquer dans les départements en convoquant la DDT, le DREAL, le sous-préfet ou le préfet, l'agence de l'eau, l'EPCI – l'établissement public de coopération intercommunale – chargé de la compétence GEMAPI et éventuellement les collectivités territoriales pour leur dire : voilà ce qu'il faut faire avec votre argent.
Si c'est ce que nous sommes en train de voter ce soir, j'aurais au moins eu le mérite – auquel j'associe Mme Auconie, qui a soulevé le lièvre, ainsi que mon collègue Sermier – de dire que c'est, je vous le dis, un véritable scandale.