Pas du tout ! Je porte aux représentants de l'État la même confiance qu'à ceux qui siègent dans les autres collèges. De surcroît, l'OFB étant chargé de missions régaliennes, il est normal que l'État dispose de la majorité au sein de son conseil d'administration, ne serait-ce que d'une voix. En outre, nous avons l'assurance que celui-ci comportera des personnalités qualifiées, qui ne sont pas nécessairement d'accord avec les représentants de l'État.
Nous venons de passer environ cinquante minutes à débattre du nombre de membres du conseil d'administration – quarante-trois ou quarante – et du nombre de collèges. Tout cela vise un peu à amuser la galerie.