Avis défavorable. Ces dispositions sont récentes ; il n'existait auparavant aucun dispositif propre à la Guyane, où les problèmes de sécurité sont nombreux et graves. Elles ont des conséquences sur le terrain, j'en suis bien consciente : il y a beaucoup d'habitudes à changer.
Mais il faut aussi souligner qu'un nombre important de demandes – plus de 5 000, selon les chiffres du ministère – ont déjà été déposées. C'est pourquoi je crois qu'il faut laisser sa chance à ce dispositif qui vient d'être instauré. Regardons comment il fonctionne, évaluons-le, et ensuite nous verrons s'il faut le modifier. Mais aujourd'hui, cela me paraîtrait prématuré.