Même avis, pour les mêmes raisons. Parmi ces 5 000 demandes de permis de chasser déposées, 4 500 ont déjà été acceptées. Le Gouvernement ne souhaite pas remettre en cause ce processus auquel de nombreux Guyanais ont déjà participé, et qui contribue à l'amélioration de la sécurité publique, comme l'a dit Mme la rapporteure. La détention et l'usage des armes à feu constituent toujours un sujet sensible, au-delà de la question particulière de la chasse.
Je souligne également que la délivrance du permis de chasser est gratuite en Guyane jusqu'en 2020 – ce qui n'est pas le cas sur le reste du territoire français.