Je voudrais dire à M. Coquerel qu'il ne faut pas se montrer méprisant dans cette commission des Lois. Ma personne n'est certes pas sacrée (Sourires) mais elle doit quand même être respectée. On a compris, à plusieurs reprises, que vous n'aimez pas la police – quand vous avez fait l'objet de perquisitions et que vous avez parlé de « police politique ».