Alors que nos policiers et personnels pénitentiaires manifestent leur désarroi, alors que nos soldats et forces de l'ordre risquent leur vie, alors que les places de prisons manquent – car, contrairement à vos promesses, vous n'en avez pas construit – , alors que la radicalisation prospère, notamment en prison, pourquoi vous résignez-vous, impuissant, au retour de ces individus ? Pourquoi comptez-vous les faire revenir ? À quel prix ?
La sécurité est la première des libertés, le pilier de la cohésion de notre société.