J'interviens au nom du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.
Nous débattons des délais, mais jusqu'à preuve du contraire, les juges sont saisis au dernier moment. Que se passe-t-il pendant ces cinq jours ? Pouvez-vous, monsieur le secrétaire d'État, les yeux dans les yeux, affirmer qu'aucune expulsion de Comoriens n'a lieu dans ce délai avant qu'ils soient présentés à un juge ?