… c'est-à-dire à l'idée d'un affrontement, j'entends dire entre deux camps. Comment, deux camps ? Mais il n'y a pas deux camps dans ce pays : il n'y en a qu'un seul, celui du peuple, de sa République, de sa police, de sa sûreté collective !
Il n'est pas bon que les uns s'imaginent que les autres sont des ennemis, ni que les policiers puissent penser que les manifestants sont un ramassis de voyous et de malfaiteurs, ni que ceux qui manifestent pensent que les policiers sont des brutes qui en veulent à leur vie, parce que ce n'est pas vrai.