Mais enfin, la dernière fois que nous l'avons fait, notamment avec la loi relative à l'état d'urgence, combien de malfaiteurs avons-nous empêché d'agir ?
Non, ce sont des syndicalistes et des militants écologistes qui ont été empêchés de manifester et qui ont été assignés à résidence.
Monsieur le ministre, voyez vous-même comment vous êtes entraîné, d'un jour sur l'autre, à en dire toujours plus, dans un sens qui ne correspond pas à ce qu'est votre mission.
Comment avez-vous pu dire à la radio ou à la télévision : « Demain, je le dis, ceux qui viennent manifester dans des villes où il y a de la casse qui est annoncée savent qu'ils seront complices » ?