Pour ma part, je n'accepte pas d'être traité de « factieux » parce que je propose, avec mes amis, de changer les institutions. Je m'inscris dans une longue tradition de remise en cause des constitutions.
Vous allez trop loin. Il y a eu une dérive autoritaire, et vous avez tout à craindre qu'ayant mis en place de tels instruments, ils ne finissent par tomber entre de mauvaises mains. Il ne faut pas penser qu'à soi.