Non, ce n'est pas de la mauvaise foi, c'est la conséquence de votre mesure, qui n'autorisera d'installations en secteur 2 que dans les zones sous-dotées, à savoir le nord de la France et les zones rurales. Ce n'est pas ce que nous souhaitons aujourd'hui pour ces populations : nous leur proposons bien mieux.
Monsieur Aviragnet, vous avez affirmé que les financements ne suivent pas. Le plan « ma santé 2022 » est doté, dès cette année, afin de financer les nouvelles organisations, de 400 millions d'euros, qui entrent dans la base de l'ONDAM : à l'arrivée, en 2022, 1,6 milliard aura été dédié à ce plan.