Vous pourrez lui dire, madame la ministre, que cette annonce m'a interloqué. Nous avons accepté la position du ministre de l'agriculture, dans cet hémicycle, lors de l'examen de la loi EGAlim, car ses propos, ainsi que ceux de M. Ferrand, nous avaient convaincus. Il nous avait ainsi clairement promis qu'au cas où ils ne parviendraient pas à tenir leur position, une proposition de loi pourrait être déposée pour atteindre cet objectif.