Aujourd'hui, 15 % de la population est obèse et la moitié est en surpoids : il faut prêter attention à ces chiffres pour assurer l'avenir de la Sécurité sociale.
Je voudrais insister sur le fait que la pratique sportive doit être adaptée, car les malades ont des contraintes particulières. Par ailleurs, les enfants en surpoids expriment souvent un mal-être, ont souvent une mauvaise image de leur corps et donc une attitude très négative vis-à-vis du sport. Il faut ainsi éviter le sport-compétition. Avez-vous réfléchi à cette nécessaire adaptation aux différents publics, notamment chez les plus jeunes ?