Il est un peu étonnant d'entendre Mme Rubin m'accuser de vouloir une école à deux vitesses pour terminer son discours en regrettant qu'une mesure prise par le Gouvernement, à savoir le dédoublement des classes, ne soit pas appliquée de manière parfaite dans le département qu'elle représente ! C'est tout de même paradoxal. De deux choses l'une : si nous mettons en place l'école à deux vitesses au détriment des populations défavorisées, ne vous plaignez pas de la non-extension éventuelle d'une mesure que nous avons prise ! Cohérence et constance sont donc les principes qui doivent guider notre action.