Parce qu'on s'applique à utiliser le pronom qui correspond au sexe inscrit à l'état-civil, sans se soucier toujours de l'identité de genre de l'enfant, on renforce des situations de mal-être. Il convient donc de bien nommer les choses et d'offrir un climat scolaire inclusif, bienveillant et adapté à chaque enfant.
Le 26/02/2019 à 14:09, Laïc1 a dit :
Quand on dit "tu" à l'enfant, il ne peut pas savoir de quel genre on le suppose. Quand on dit "il" ou "elle", il ou elle n'est pas là, et ne peut donc pas plus savoir à quel genre on se réfère quand on parle de lui ou elle.
Encore des faux problèmes pour se faire remarquer et tout ramener à soi.
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