Quelque chose m'a interpellé dans ce que vous avez dit, madame le rapporteur : ce serait aux enseignants de décider si La Marseillaise est chantée ou non ? En définitive donc, la transmission de notre héritage serait une question d'opinion : c'est de l'opinion de tel ou tel enseignant que devrait dépendre la faculté d'accéder au patrimoine vivant qu'est le chant national ?