L'évaluation du système doit obéir à la même logique : c'est ce que nous sommes en train de façonner ensemble au travers de la discussion de ce projet de loi.
Nous devons en effet aboutir – vous l'avez rappelé – à un Conseil d'évaluation qui ré-englobera toutes nos capacités d'évaluation.
Il permettra à toute école, comme à tout établissement de France, de bénéficier tous les cinq ans, à partir d'une autoévaluation, d'une évaluation qui lui permettra de se sentir aidé et soutenu pour la compléter, et surtout de se sentir aidé et soutenu, à partir de celle-ci, en vue d'accomplir le projet éducatif de progrès que chacun formulera pour aller de l'avant.
Le 01/03/2019 à 15:38, Laïc1 a dit :
Combien de fois de fois le mot "évaluation" est dit… (13 fois dans toute l'intervention du ministre, sans compter les pronoms personnels qui reprennent ce mot…). Tout ça pour ne pas savoir ce qu'il y a dedans, à quoi elles servent, etc...
Pour être concret, les évaluations doivent toutes, dès les primaire, être notées (fini les abstraits et imprécis NA, ECA, A, et les remises des copies aux élèves en silence), et être remises aux élèves par ordre de classement, le tout dit à haute voix par le professeur à toutes et tous les élèves.
Car sans émulation, sans satisfaction publique d'avoir réussi, alors le désir d'apprendre et de réussir sera moindre.
L'étude et l'école doivent aussi être un moyen de plaisir, et les notes et classements sont là pour cela.
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