J'avais prévu de parler peu, prenant en compte le travail qui nous attend. Mais je ne peux pas ne pas répondre à ce qui vient d'être dit. Je vais répondre, précisément, à ce que vous avez dit, mesdames les députées. Mais je suis, d'emblée, dans une situation assez paradoxale. Vous avez rappelé que ce dispositif avait été élaboré il y a plusieurs décennies par d'autres gouvernements, lesquels nous ont placés dans une situation difficile. Aucun gouvernement précédent n'a eu le courage d'en finir avec cela. C'est ce gouvernement qui fera ce qu'il faut, avec des impératifs diplomatiques et sociaux complexes !
Nous sommes en train de prendre le sujet à bras-le-corps. Il est très paradoxal de s'entendre reprocher de ne pas agir alors même qu'on hérite d'une situation à laquelle on est justement en train d'apporter une solution.