C'est un sujet très légitime, très important ; vous avez raison de l'aborder. Mais, comme je l'ai dit depuis le début de nos débats, on ne peut pas surcharger le code de l'éducation.
Permettez-moi en outre de faire remarquer – avec un brin de malice – que je vois là quelque contradiction avec vos propos d'hier sur le fait que l'école ne doit pas s'immiscer dans la vie des familles. Le sommeil, c'est typiquement quelque chose qui se passe à la maison, mais aussi typiquement un sujet dont l'école doit parler et qui entraînera des conséquences sur la vie des foyers. Je dis cela pour vous faire sourire – et accompagner mon avis défavorable.