Je ne connais pas les chiffres que vous mentionnez, mais il est indiscutable que les jeunes, dans certains quartiers de la région parisienne, ont eu le sentiment d'être moins bien accueillis que par le passé dans les grands lycées parisiens. Il est possible que nombre d'entre eux aient été découragés par la longueur de la procédure et l'absence de réponse à leurs demandes et que, par conséquent, ils n'apparaissent pas dans les statistiques.
Vous êtes parfaitement conscients du problème, puisque vous avez modifié le dispositif : ainsi, l'année prochaine, les trois académies de la région parisienne n'en feront qu'une. Dès lors que vous apportez un remède, c'est que vous reconnaissez l'existence d'un problème.